jeudi 23 mai 2013

Poëmes pour Marion (compilation de SMS)

Premier contact :

C'est la première fois,
que l'on m'offre celà.
Un poème de ta main,
vaut bien tout les desseins.
Sans forcer le destin,
ni faire le vaux rien;
le long de mon chemin,
te prendre par la main.

Seul ce soir mais demain :
je chant'rai le refrain.
D'un avenir serein :
beau - profond - doux - simple - un.
Comme fleur entre tes seins.

Revers de plume :

Le revers de la plume, plus doux que l’amertume,
je ne peux te l'offrir, car ton cœur est épris.
Pleurer ou bien rire ? C'est sûr tu es à lui.
Mais ne sois pas triste, pour ne pas jalouser,
je suis assez altruiste, le fruit de vos baisers.

Me donne le sentiment, ton âme m'est familièr',
de faire le prince charmant, ton visage qui éclair.
Tu connais les abysses de quoi protège cerbère.
Et possède la malice des gens de bonne écoles.
Protège moi du vice, l'amour ne se vol !
Tourne donc bien la vis, notre amitié décolle.

Tu dis que je te flatte, je pense ce que j'écrit.
Ton humour est bien mat, mais comme tu souris.
J'imagine tes lèvres, en fumant ma sourie.
Je suis jamais en grève, des rimes qui s'embrassent,
des syllabes en rythmes : mes talents se surpassent.
J'écrit tout mon lyrisme : te revoir mon soucis.

Merci de me rappeler, que toute cette médecine,
ralenti mes idées et casses mes racines.
Tu te sent infidèle mais tu te sent libre.
Dans mes yeux tu es celle, dont l'âme belle et tendre.
Mérite que ton corps dans mes bras s'éprendre.
T'enlacer dans nos tords, plonger dans les méandres.
De ta bouche amoureuse, dans ton cœur qui balance.
Reste donc sérieuse je désire tes hanches.

Seconde rencontre

Le goût de tes lèvres, ressembles à la joie.
Des amours transit, jamais loin de la foi.
Qu'on me prenne pour un autre, ne me dérange pas.
Tant que sous ton horloge, tu pense un peu à moi.
Plus rien ne me retiens dans cet hôpital là.
Nous nous sommes rencontrés, je t'ai pris dans mes bras.
Quelques soit la couleur, de tes robes de tes bas.
Caresser la candeur, d'un printemps avec toi.
Imaginer la suite d'une histoire sans tracas.
Ce soir tu es partie, je ne t'oublierai pas.

Avancer d'un pas

Tu vois bien que c'est toi qui me fait des avances.
Je crois bien que cette fois, j'n'e saurais refuser.
La douceur de ton corps, les courbes de tes hanches.
Tes caresses cette transe, m'enflammer : t'embrasser.
Une nuit en entier t'aimer et te voir jouir.
Te regarder bien nue : ce péché nous unir.
Terminer enlacés accrochés l'un à l'autres.
Ne jamais regretter car au dessus des poutres.
Dieu la haut dans les cieux, nous regardes, nous pardonnes.

Le goût de tes baisers ressembles à ces splendeurs,
que seul les oliviers ressentent dans leurs cœurs.

Et dans tes yeux si sombres.
J’aperçois la pénombre.
D'une nuit qui retombe.
Tout les soirs dans tes bras.
De la lune: ses appâts.
Elle rit de se p'tit monde.
Une nuit avec toi.
Échaufferait mes pas.

Une nuit dans tes bras, j'oublie ce qui ne vas.
Pourquoi me réveiller ? De ce jolie rêve.
La tête embrumée, de cette belle trêve.

L'espace d'un instant m'endormir dans tes bras,
l'espace d'un moment, rêver encore de toi.
Rêver de tes douceurs, ton visage éclatant.
Une vie dans ton cœur, rêve de toi bruyamment.
De tes odeurs de fleurs, de tes jeux "chenapan"
Et de loin dans mes mœurs; t'embrasser doucement.

Je ferai ce qu'il faut, pour emporter ta main.
Loin de cet hôpital, loin des regards malsains.
Je serais ton fidèle, toujours près de ton sein.
Tu sera la plus belle, et ton esprit serein.
Demain je te lirais, tous ces vers malins.
Après tu sera celle qui me tiens par la main.

Dernier étage :

Je t'aime de tout mon cœur, tu hantes tout mon âme.
Des sourires partagés, je chante je ne blâme.
Dans le creux de tes lèvres ma bouche se pavane.
Mon étoile mon soleil, ta chaleur m’ensorcelle.
Radieuse pleine de joie. Je regarde tes flanelles.
Et ma drôle de foi, fait de toi l'éternelle.
Mes transports pour toi, font de toi la plus belle.
Je ne séduit plus personne, dans ma chambre j'écrit.
Prend donc confiance en moi, je ne mérite tes cries.
Ta jalousie étouffe l'amour que j'ai pour toi.
Mélancolie et doutes sont comme un trépas.
Laisse moi t'aimer tout bas; laisse moi vivre près de toi.

Soit patiente ma belle, je prendrai soin de toi.
Et face à l'éternel, t'embrasser avec joie.
Si jamais tu insiste, je ne te cacherai pas.
Que tu m'inspire muse, qu'auprès de toi j'assure.
Les peines de ce monde, ne sont pas ma parure.
Mais le fond de tes rires j'en construirai un mur.
Qui nous protégera : des insultes, du parjure.
M'envoler avec toi est tout ce que je souhaite.
Plus rien ne nous retiens, prépare toi, tiens toi prête.

version chanté :

https://www.facebook.com/video.php?v=10152258209564548&l=5860750226782636135




1 commentaire:

  1. Quelle chance d'avoir été ta muse et si ce temps est révolu ainsi va la vie...

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