dimanche 30 décembre 2012

extrait de "Méditation pœtique"



note : les "e" muets sont volontairement remplacé par #
dans un souci de lecture simplifié et juste.



Cette fois il ouvrit un couloir dans lequel
une femm# se trouva. Âm# au teint d'or si bell#.
Il n'êut vu non jamais celle la de ci près.
Si cela suffisait ? Les murs d'argents êtaient :
Un merveilleux couloir plein de vaste lumièr#
et au cœur du contour : visage venu d’Éther.

Habillée d'une rob# en soie ros# et blanche.
Aux cols, bas et longs gants de cachemir# bleuté.
Travaillé sur le lob#, en loi perl#s de Manche.
L'eau sût refléter sans encombre le nacré.
Maquillée elle dérob# le voil# de ses hanches.
Le sol là, même autant : d'orange habillé.


La version complète ne sera jamais disponible ici en ligne.

Poème pour Lolita :

Tes cheveux long soyeux
reflètent les chakras
de nos frères capricieux
qui enlèvent leurs bas
pour bien montrer aux Dieux
que leurs vie ici bas
ne valaient pas leurs vœux
mais bien plus que cela.

Dans tes yeux délicieux
j'entends la mer qui bouge
dans les cieux amoureux
j'écris un verbe rouge.

Dans le creux de tes yeux
je vois l'océan bleu.

Et devant ton soleil
du "bon coin" et d'argent
des animaux se lèvent
combattent le néant.

Allongé au soleil
un gazon éclatant
ton corps comme merveille
ton âme éblouissant
des rêves de lune de miel
dans tes bras ton amant.

Un homme bien heureux
celui là bien chanceux,
un cancre un peu nerveux
poète bien crasseux.