dimanche 12 août 2012

Boreal Spring Radiation

Version électronique (longue) et acoustique (version raccourcis) disponible sur :
myspace.com/h.alpha.alpha.r.p


Nous avons écouté, un concert cet été,
sommes tue lorsque la harpe : pris le temps de chanter.

Dans l'église du village, sans méprise sur son âge.

Nous avons chuchoté, contre-basses et bassons,
la tempête déclenché, piano, trompettes, violons.

Dans l'église du village, sans méprise sur son âge.

Tu étais souriante, belle comme tous les jours
Dans l'ombre derrière le cœur, à travers les vitraux
tes joues reflétaient la seul lumière autour,
dans mes yeux ébahies, nous étions en duo.

(respiration)
Dear madam, I wish you a good day,
fear's not shame to feel often away.
Every wars are civils cause we live,
sorry mankind single earth like Eve.
(respiration)

Mimer l'âme du mimosa pour émettre
mes sentiments. Maladroit mais patiemment,
millimètres par millimètres j'aimerais
m'inscrire amoureusement, profondément,
mot par mot dans une terre millésime fertile
comme tes yeux amandes, tes cheveux milles feux
sans parler de ton âme un milliard de fois
moins moche que le mépris mate communément méchant.

M'envoler allégrement à ton bord manger
des mures, corps à corps, merises et miels. T'émouvoir
et mûrir près de toi. Pouvoir m'enlacer mauve
sur une mer molle contre toi. Mélanger
mes minces parfums intensément aux tiens milles
nuits dans mes bras mais m'empêcher de mettre mes
mains sous ta mini jupe moites violemment courte.

(respiration)
Dear madam, I wish you a good day,
fear's not shame to feel often away.
Every wars are civils cause we live,
sorry mankind single earth like Eve.
(respiration)

Le vent dans les feuilles mortes
sentira la menthe fraîche
de tes lèvres roses et propres,
Oui tes lèvres roses et propres.

Les couleurs vertes effacées
pour laisser place à ces oranges
d'une beauté qui n'a rien d'étrange
aux amateur des châtaigniers.

Le cycle continue encore,
les récoltes vont tomber des-lors.
Le soleil commence à manquer
mais il suffirait de changer
d'hémisphère pour nous retrouver
dans une période opposée.

Quelques soit la saison vécue
souvent partirons en vacances
quelques soit la raison voulue
souvent resterons en partance.

(Longue pause)

Et des souvenirs d'enfances
nous nous échapperons ensembles
nous pourrons construire nos histoires
autour des découvertes d'espoir.

D'un monde à visiter à deux
d'un monde qui fait ouvrir les yeux
d'un monde si vaste et qui exhorte
d'un monde qui nous ouvre ses portes.

(respiration)
Dear madam, I wish you a good day,
fear's not shame to feel often away.
Every wars are civils cause we live,
sorry mankind single earth like Eve.
(respiration)

Dans ton bain d'eau douce sirène, qu'attend tu pour prendre le large ?
nous partirons sur la Caspienne, sur la Manche l'Égée ou la Rouge
les vents nous porterons Diane, naviguer sur une sacré barge.

Dans ce bain d'eau salée sirène, dans ces mers qui moussent et qui saignent
Sur ce désert aquatique j'aime, il n'y a plus aucune alarmes.

Si ce désert est liberté, que deviendrons nous sans les prés ?
Si notre amour est destiné, nous nous reverrons chaque journée.

(fin de la version acoustique courte)

Si j'utilise ses rimes faciles, c'est pour que nous restions tactiles,
que jamais nous ne sombrions, dans un ennuie bien trop profond.
Quand nos corps en ébullition, quand nos âmes en admirations,
nous jouirons d'une vie tranquille, une vie simple et tempérée.
Nous pourrons bronzer au soleil, juste toi et moi sur le pont,
rester nus toute la journée, prendre le temps de s'observer.
Et peut être alors concevoir, quelques idées puis des enfants,
qui naîtront comme nous étions, nus entre la mer et le vent.
Plus tard il faudra bien rentrer, au port de la vie désirée
et comment feras tu alors ? pour marcher comme tous les autres ?

Je crois que je préférerai, les laisser sur terre pour tes yeux,
bien que ne volent notre bateau, repartir vers d'autres cieux.

Mais si un jour viens à manquer, ce moteur insaisissable qui,
tu sera libre de choisir, pour l'éternité nous unis,
entre moi ou ton océan, qui finira de toute façon,
par nous emporter lentement, dans tout l'inverse du néant.

(respiration)
Dear madam, I wish you a good day,
fear's not shame to feel often away.
Every wars are civils cause we live,
sorry mankind people hurts like Eve.
(respiration)

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